Sujet: « We got no troubles, life is the bubbles » - ZMG Dim 2 Juin - 7:37
❝ I was dreaming, but I should have been with you instead. ❞
❝ Zoé-Mye Gabriella Dickinson ❞
— Comment trouvez-vous Fairhope ? Vous savez, à force d'avoir passé la majeure partie de mon existence dans cette ville, je commence à m'en lasser quelque peu. Mais il me serait impensable de la quitter. Comme a pu le dire le célèbre Alessandro Barrico : « Il faut toujours semer un prétexte pour revenir, quand on part. ». Mon prétexte, c'est Fairhope.
— Ou étiez-vous au moment des meurtres ? En ce qui concerne le meurtre de Marine, j'étais malheureusement à l'hôpital. J'étais de garde cette nuit-là. Je surveillais un patient que mon titulaire venait d'opérer. En ce qui concerne le meurtre de Cindy. J'étais chez moi, emmitouflée dans une couverture bien chaude. J'avais la grippe. En ce qui concerne le meurtre de Samantha. J'étais en ville, en train de faire quelques magasins. Je profitais des quelques heures de repos qu'on avait daigné m'allouer. En ce qui concerne le meurtre de Juillio, j'étais en train de travailler à l'hôpital. Une étude importante.
— Connaissiez-vous les victimes ? Il ne me semble pas... J'ai peut-être dû les croiser à l'hôpital, je n'en sais rien. En tout cas, toujours est-il que si je les ai vu, ça ne m'ait pas marqué. Je prends soin de ne pas me lier aux patients. C'est la règle que je me suis fixée en entrant à l'hôpital.
— Connaissiez-vous le shérif ? Qui ne le connaît pas ? J'ai grandi dans cette ville, j'étais présente quand il a été sacré shérif devant la ville. Il était vraiment super. Il venait en aide à tout le monde, quelque soit le problème. Il n'hésitait pas à venir nous parler quand il en avait le temps. Je n'ose à peine imaginer la ville sans sa présence.
— Pourquoi pensez-vous qu'il est innocent ? Prenez un bisounours. Pensez-vous qu'un bisounours soit capable de tuer son ami ? C'est pareil pour le shérif. Le shérif était un bisounours.
— Avez-vous des soupçons sur le véritable tueur ? Hum... Peut-être... Vous savez, les murs ont des oreilles, et moi aussi.
— Avez-vous déjà reçu un petit mot de Cards your lies ? Ce compte envoie des messages de menaces par moment de dévoiler vos mensonges. Lisez le sujet concernant ce compte pour en savoir plus.
—mes surnoms • Zo, Zozo, Mimi... Rien de bien folichon. —mon avatar • Brittany Snow. —mon âge • J'ai 27 ans et toutes mes dents. —ma date de naissance • Je suis née le 2 janvier1986. —mon lieu de naissance • Et je suis née à Fairhope. —statut matrimonial • Je suis actuellement fiancée. —mon métier • A ce qu'il parait, je serais étudiante en neurologie. —mon adresse • Et sinon, si tu veux me rendre visite, passe au 10913 - COUNTY ROAD 1 ! —mon porte bonheur • Bien que je ne sois pas croyante, c'est une petite croix incrustée de diamants que m'a offert Francesco. —ma couleur favorite • Ma couleur préférée est le framboise. C'est acidulé, c'est rose sans l'être trop. Bref, tout ce que j'aime. —ma song favorite • Du groupe anglais Wham!, Wake me up before you go-go. —mon dessert favori • Le cheesecake à la framboise, au citron et au fruit de la passion. —mon roman favori •Autant en emporte le vent, de Margaret Mitchell. Un chef d'oeuvre de la littérature américaine. —mon film favori • Little Miss Sunshine. —mes autres favoris • J'aime la plage, parler, Milan, mon fiancé... J'adore le chocolat et les glaces aux fruits exotiques. J'aime aussi la musique classique. Mon animal favori est le papillon. —tous mes pas favoris du tout • Autant jouer dans les clichés, mais j'ai une sainte horreur des souris. C'est le meilleur moyen de m'entendre hurler. Je déteste le chou, quel qu'il soit. Je ne suis pas une adepte du silence. Je n'aime vraiment pas le rap. Faites-moi écouter du rap et franchement, j'espère que vous ne tenez pas à votre Ipod.
Je suis une personne qui peut sembler mal à l'aise au premier abord. Mais ne vous inquiétez pas, ce n'est juste qu'une façade car en réalité, je n'ai aucun balai dans un endroit peu catholique quand on y pense. Je suis une personne sociable, tout ce qu'il y a de plus naturel. Peut-être trop sociable, selon certaines personnes. Car je n'aime pas voir les gens seuls dans leur coin, lors d'une soirée. Et quand quelqu'un va mal, c'est bibi qui est là pour remonter le moral, que je connaisse la personne ou non. Aussi, on vous dira de moi que je suis bavarde. Je n'arrive pas à ne pas parler. Ce n'est pas possible. Demandez à Paolo, il ne vous dira certainement pas le contraire. Ou à Francesco. Eux, ils n'ont pas de chance. Ils doivent me subir assez régulièrement. Paolo, c'est tous les jours. Francesco, c'est quand nous nous voyons, quand nous nous téléphonons ou quand nous skypons. Au travail, je préfère ne pas m'épancher sur ma vie, sur les ragots que je peux entendre. Les patients ne sont pas toujours très cool. Mais ce sont souvent eux qui profèrent les meilleurs ragots. Rien qu'à les écouter et ma journée peut s'illuminer. Pourquoi ? Parce que j'adore les ragots. Vivre sans ragots, c'est comme vivre sans parler ou un feu sans fumée. Ça n'est pas possible pour moi. Et quand j'entends des ragots, même s'ils me blessent, vous ne me verrez jamais me lamenter par terre, sur le sol, ramassée sur moi-même à pleurer toutes les larmes de mon corps, ou encore avachie dans un canapé, un pot de Ben & Jerry's entre les mains, devant un film à la guimauve. En fait, quand j'ai mal quelque pat, je ne m'en plains jamais. Parce qu'après, on serait capable de dire ( suivez mon regard ) que je monopolise encore toute l'attention. Bon, ça, c'est moi qui le suppose. Et puis, de toute façon, les gens n'en ont rien à faire de ma vie, de mes problèmes. Francesco soutiendrait que tout l'intéresse en moi, qu'il veut me connaître plus, que mes problèmes sont les siens. C'est un rigolo. Mais je l'aime c'est pas ma faute.
—mon petit prénom • Adélaïde. —je viens de ? • France. —je me présent en bref • 21 ans, brune aux yeux marrons, de taille moyenne... Quoi, on n'est pas sur Meetic ? —j'ai trouvé(e) le forum comment ? • Bah... —mes première impression • Lily, ton forum, il pue —je me connecte touts les ? • 36 du mois Non tous les jours. —je suis trop pressé de ? •manger de rp avec vous. —chatbox, jeux ou flood ? • CB. Sans hésiter. Flood après. —suis-je timide ? • Ah bah ça dépend de mon humeur en fait. —ma fiche avance, elle est ? •en cours —j'ai une/des question/s • Aucune pour le moment. —le code du règlement • Two can keep a secret if one of them is dead ( Got a secret, can you keep it ? Swear this one you'll save. Better lock it in your pocket, taking this one to the grave ♪ ). —mon groupe •Champagne —et un dernier mot ? • Oh, en passant, je crédite LES musiques de ce présent post. Le titre de la fiche provient de la chanson Under the sea, issue de la Petite Sirène. Et sinon, juste au dessus de la grande image de Brittany Snow, ce sont les paroles de la chanson Wake me up before you go-go, du groupe Wham!.
code par sweet lies alabama & fiche écrite par Alinoé
Dernière édition par Zoé-Mye G. Dickinson le Mer 5 Juin - 8:35, édité 8 fois
Sujet: Re: « We got no troubles, life is the bubbles » - ZMG Dim 2 Juin - 7:38
❝ We're both young when I first saw you. I closed my eyes and the flashback started ❞
And she's buying a stairway to heaven
Ma mère n'a pas vraiment de chance. Elle a passé son Nouvel An à l'hôpital. Elle avait commencé à ressentir des contractions, de plus en plus fortes. Manifestement, elle avait dû penser, comme tout un chacun, que quelques aspirines allaient calmer ces douleurs. Mais il n'en fut rien. L'évidence voulait que ses maux ne se calmassent pas. Heureusement que Papa était là, sinon, elle aurait accouché à la maison, et franchement, c'est pas terrible. Déjà pour eux parce qu'il aurait fallu qu'ils nettoient tout aussitôt, sinon ça aurait collé par terre et ils auraient galéré à enlever le sang. Et puis ils auraient tâché le canapé ou le lit. Et franchement, quand on voit maintenant le prix d'un matelas ou d'un sofa... Toujours est-il que nous sommes nés – oui nous, car on est trois à être venus au monde en ce 2 janvier 1986 – à l'hôpital, comme des gens normaux. Enfin, dans mes amis, rares sont ceux qui sont nés chez eux. Je crois même qu'il n'y en a aucun. Bon après, c'est sûr qu'on ne discute pas de ça. Je suis née la dernière. Ce qui fait que je suis l'aînée. Quelle chance, me diriez-vous, mais je ne vois pas où elle est, cette chance. Tandis que mon frère et ma sœur gazouillaient gaiement dans leurs petits berceaux, j'étais enfermée dans une couveuse. Une petite prison de plastique transparent, à taille de nourrisson. Elle étouffait mes faibles pleurs, retenait mes respirations. De temps à autre, des mains osaient passer à travers les quelques rares ouvertures pour me tenir la main, me caresser le visage. Parfois, elle s'ouvrait et je sentais alors une vague d'air me submerger. Oh, je n'étouffais pas, dedans, mais les sensations étaient atténuées. Ce fut étrange. Quand on me sortait de cette couveuse, c'était pour me faire quelques rapides examens, de ceux qui détermineraient mon aptitude à vivre au grand air, chez mes parents.
Sweet dreams are made of this
Une petite créature blonde se tenait debout, au milieu d'une piste de danse déserte. Cette petite fille chantait une chanson, d'une voix fluette, et pas tellement en accord avec la musique. Des adultes lui adressaient des sourires, d'autres riaient. Certains la prenaient en photo. La fillette se dandinait d'un pied à l'autre, et adressait des sourires édentés à l'assistance qui la regardaient se donner en spectacle. Quand elle eut fini, les applaudissements retentirent. Oh, ce n'était pas des milliers d'applaudissements, comme lors d'un concert ou d'une grande manifestation musicale, mais ils étaient suffisants pour que l'enfant soit heureuse. Et cet enfant, c'est moi. Quand j'étais gamine, je n'avais honte de rien. Je pouvais chanter devant des dizaines de personnes, ça ne m'effrayait pas. J'aimais bien aller faire les gens, leur parler, de tout et de rien. Surtout de rien. J'aimais quand ils me racontaient des histoires, réelles ou non et qu'ensuite, je partais dans d'inlassables élucubrations. Souvent, on me demandait de me taire cinq minutes. Mais allez expliquer la notion du temps à un enfant ! A l'école, quand je jouais avec les autres, c'était moi qui parlait le plus. Même quand la maîtresse nous donnait ses leçons de mathématiques ou d'anglais, je ne pouvais pas m'empêcher de parler avec mon voisin ou ma voisine. D'ailleurs, mes bulletins de notes de mon primaire peuvent en attester. J'étais une grande bavarde. Ce trait de caractère ne m'a toujours pas quitté. Souvent, on ne prend pas le temps d'écouter les enfants. Souvent, on pense qu'ils vont dire des choses inintéressantes, sans queue ni tête. Alors, on les embrigade, on piège leur parole, on les berne, on les berce de douces illusions. On leur promet des choses que nous ne sommes pas en mesure de leur fournir. On leur dit que le Père Noël apportera plus de cadeaux si l'enfant se tait, on leur promet une part supplémentaire de gâteau au chocolat au goûter. Mais le fait est là. L'enfant n'a rien de tout ça. Il se morfond alors dans son innocence juvénile, attendant qu'un jour meilleur se présente à lui. Heureusement pour moi, je n'ai pas eu tout ça. Mes parents me laissaient parler en toute liberté. Et quand bien même on me faisait la remarque sur mes bavarderies incessantes, mes parents n'hésitaient pas à venir à ma rescousse. Ils voulaient le meilleur pour leurs enfants et ils devaient sûrement penser qu'aller à l'encontre d'une sociabilisation prononcée au travers de la parole, ça pouvait déstabiliser l'enfant, le dérouter. Alors que le laisser parler, ça lui permettait de se faire des amis, de s'épanouir.
It's a new dawn, it's a new day, it's a new life for me ooooooh, and I'm feeling good
Le départ. Ce fichu départ. Qui peut mettre à mal tant de choses construites. Un départ qui brise bien des cœurs, qui peut briser des espoirs. Autant, pour ceux qui partent, c'est dur ; ils devront s'adapter à un nouveau mode de vie, à une indépendance auquel ils n'étaient pas habitués. Mais pour ceux qui subissent ce départ, ils doivent réapprendre à vivre sans un environnement familier. C'est ainsi que mon frère, ma sœur et moi avons décidé, à nos dix-sept ans, de quitter le domicile familial pour voler de nos propres ailes. Oh, moi, ça ne me dérangeait pas. J'avais pris l'habitude de me débrouiller seule depuis un long moment, donc partir ailleurs, tout recommencer, ça ne me dérangeait pas le moindre du monde. Au contraire, j'avais grand hâte de prendre mon indépendance. M'installer dans un appartement, l'aménager selon mes goûts, me coucher quand je voulais où je voulais dans l'appartement. Mais ce qui me plaisait le plus, dans ce départ, ce sont les études que je voulais faire. Mes parents ne m'avaient pas mis de bâtons dans les roues, en ce qui les concernaient. Je leur avais dit que je voulais faire médecine, et bien qu'ils savaient que les études dans cette branche étaient longues et ardues, ils ne m'avaient pas freiné ; au contraire, ils m'avaient presque encouragée. J'avais pris leur silence comme signe de fierté. Alors, on était partis, tous les trois, en laissant nos parents seuls au monde. Une coquille vide que formait leurs deux cœurs. Pourtant, je n'ai jamais quitté Fairhope. J'aurais très bien pu m'en aller loin, très loin, ailleurs, mais mes attaches sont ici. Et celles de mon frère et de ma sœur aussi. Nous n'avons pas pu nous résoudre à laisser nos parents dépérir ici. On s'en serait voulu si quelque chose venait à leur être infligé et que nous n'aurions rien pu faire pour les sauver. Nous n'aurions pas été là, et les regrets, les remords nous auraient submergés jusqu'à la fin de nos jours. Tous les trois, nous nous installâmes dans un grand appartement, que nos parents nous avaient aidé à financer. Avec nos quelques ressources, on a réussi à s'en faire un appartement confortable, mélangeant avec élégance nos différents goûts artistiques. Le mélange détonnait mais n'était pas disgracieux au regard. Quelques temps plus tard, leur cousin débarqua, sans logement. Nous n'allions pas le laisser à la rue. Alors, nous l'avons recueilli et il est devenu l'un de nos colocataires. C'est plutôt sympathique d'avoir son cousin chez soi. J'aurais bien aimé être proche de lui, vous savez, sortir au ciné avec lui, pourquoi pas se faire un chinois devant le téléfilm du dimanche soir... Partager ce qu'on aurait pu partager... Mais je n'ai pas envie d'éclipser le lien fraternel si ténu qu'il y a entre ma sœur et moi. Je ne veux pas créer un fossé encore plus profond. Alors, je ferme ma gueule et je fais comme si ça ne me dérangeait pas. Pas le moindre du monde. Pour combler ce trou, nous avons accueilli un jeune homme, résultat d'un métissage entre un allemand et une espagnole. Tandis que les autres semblaient le laisser de côté, je me rapprochais de lui. Il devait se sentir seul dans un monde qu'il ne connaissait pas. Alors, je m'étais chargée de l'intégrer à notre société, à notre monde. Je parlais avec lui, de tout et de rien, surtout de rien. Parfois, je trouve certains comportements de ma famille injustes envers lui. Suis-je donc la seule sensée, la seule civilisée dans cet appartement ? Il faut le croire.
I never knew I had a dream until that dream was you
L'avion venait d'atterrir à Milan. Je m'étirais sans aucune grâce dans le siège que j'occupais depuis huit heures. L'idée de me dégourdir les jambes et d'ôter les fourmis qui stagnaient dans mes pieds me procuraient une joie immense. L'idée de profiter du soleil italien en plein été, ça me ravissait au plus haut point. J'allais pouvoir profiter d'incursions culturelles, de délassements sur les terrasses de café, de baignades sur la plage de Gênes. Être en vacances totale, coupée du monde. Savourer de délicieux instants, seule, dans un pays de ravissement complet. Attablée à la terrasse d'un restaurant, je savourais mes spaghettis bolognaise tout en terminant la lecture d'un livre commencé quelques jours avant mon départ pour l'Italie. Au moment de payer, je m'étais levée et dirigée vers l'intérieur du restaurant. Je tendis ma carte bleue et en attendant de composer mon code, je jetais des coups d'oeil alentour, observant le décor, notant quelques idées pour enrichir la décoration de ma chambre, à mon retour. Mais mes yeux crochetèrent ceux d'un parfait inconnu. Des yeux d'un vert profond. L'homme semblait me regarder avec insistance. Je le jaugeais de haut en bas, en lui adressant néanmoins un sourire sincère. Lorsque j'eus payé, je me détournais de lui, et m'en retournais d'un pas calme dans mon petit chez-moi temporaire. Sur le chemin du retour, je sentais comme une présence, qui me suivait. J'accélérais le pas. Au bout d'un moment, je soupirais, m'arrêtais et me retournais pour dévisager, une nouvelle fois, le mec de la pizzeria. Intriguée par sa présence, je lui demandais ce qu'il pouvait bien faire là. Vous savez, on dit que les couples unis par le coup de foudre ne tiennent jamais longtemps. Enfin, c'est ce qui se raconte, ce qui se murmure au détour d'une ruelle, au coin des avenues, dans l'intimité d'une pièce, autour d'un café et de quelques gâteaux. Mais, je pense personnellement que ce ne sont que des bêtises en paquet. Francesco et moi, ça fait un peu plus d'un an que nous sommes ensemble. Bon, il habite toujours en Italie, mais cela ne nous empêche pas de nous voir régulièrement. Parfois, je vais chez lui, des fois, c'est chez moi qu'il loge. On est toujours heureux de se revoir. Des effusions passionnées, un amour qui ne peut s'empêcher de vivre au grand jour. Tiens, je ne vous ai pas encore dit ! Quelques mois après notre début de relation, il m'a demandé en mariage. Bon, vous pouvez penser que c'est précipité. Mais quand on est persuadé d'avoir trouvé LA bonne personne, comment lui refuser la chose la plus touchante du monde ? Toujours est-il que je n'ai pas pu lui refuser cette déclaration. Je ne peux rien lui refuser. Je l'aime. Un point c'est tout.
crédits chansons : Taylor Swift - Love Story, Led Zeppelin - Stairway to heaven, Marylin Manson - Sweet dreams, Nina Simone - Feeling Good, Bon Jovi - Thank you for loving me
Dernière édition par Zoé-Mye G. Dickinson le Mer 5 Juin - 8:08, édité 19 fois
Sujet: Re: « We got no troubles, life is the bubbles » - ZMG Dim 2 Juin - 7:40
MON DJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJ d'amour T'es trop belle en plus avec ce sesky avatar. Brittany, quoi , elle est genre ** Trop belle, quoi Bonne chance pour ta fiche et vivement que tu me fasses découvrir encore de la belle musique ** JOTEM et puis mon forum, il sent bon la rose d'abord, je le parfume tous les jours !
Sujet: Re: « We got no troubles, life is the bubbles » - ZMG Dim 2 Juin - 7:45
Héhé ::
J'ai eu un coup de coeur énorme pour cet avatar et ce pv Je ferais mon possible pour faire rapidement ma fiche Et puis DJ perso in da place ! Je vais rythmer vos soirées, faire bouger vos journées et... Non j'me tais
Billie-Leen C. Harisson✁---------------------------