— Comment trouvez-vous Fairhope ? Cette ville me change de Pitsburg que je connaissais enfant. En effet, je suis née ici, mais je n'ai pas eu la même chance que mes sœurs, puisque je suis partis vivre en Alaska à l'âge de trois ans, ce qui fait que je n'y connais rien. Je dois dire que j'aime beaucoup cette ville, l'étrange tension que nous sentons dans atmosphère m'inspire de nombreuses œuvres.

— Ou étiez-vous au moment des meurtres ?
Où étais-je lors des meurtres? Je ne peux pas vraiment vous répondre avec précision, mais je crois que j'étais dans ma chambre, sur mon lit. Avec mon cahier à textes, ou bien avec un pinceau. Je suis pratiquement sûre que j'étais chez moi, demandez donc à ma famille pour voir.


— Connaissiez-vous les victimes ? Je ne connaissais pas vraiment les victimes. En 2012, année durant laquelle les meurtres ont eu lieu, je n'étais ici que depuis un an. Je ne connaissais que peu de monde. J'ai certainement entendu parlé d'eux, les croisées mais cela s'arrête là.

— Connaissiez-vous le shérif ? Je lui ai adressé la parole que deux fois. La première fois, dans une des rues de Fairhope, où nous nous sommes salué, la seconde fois, devant le lycée où il était en patrouille. Je ne peux pas vous en dire plus sur lui, donc....

— Pourquoi pensez-vous qu'il est innocent ? Je ne sais pas, sa femme est morte, et je me demande bien, pourquoi avoir fait cela. Et puis si j'écoute les rumeurs sur ce personnage de la ville, il était important et gentil, tout le monde l'aimait, alors pourquoi aurait il fit cela....

— Avez-vous des soupçons sur le véritable tueur ?Non, personnellement, je pense que cela peut être n'importe lequel des habitants.

— Avez-vous déjà reçu un petit mot de Cards your lies ? Non, pas encore, mais dés que j'en recevrai, je viendrai vous voir, d'accord?

— mon petit prénom • Alexandre
— je viens de ? • La Reunion. 
— je me présent en bref • Je suis un garçon, j'ai un certain âge (non je ne suis pas vieux, j'ai entre seize et dix-huit ans) Je suis passionné de théâtre et je suis en 1L.
— j'ai trouvé(e) le forum comment ? • Merci... BAZZART 
— mes première impression • Je suis littéralement amoureux. 
— je me connecte touts les ? • Je pense que je peux me connecter tout les jours
— je suis trop pressé de ? • Pouvoir RP
— chatbox, jeux ou flood ? • Les trois
— suis-je timide ? • Je suis timide:O
— ma fiche avance, elle est ? • J'ai finis
— j'ai une/des question/s • Aucune
— le code du règlement • Two can't keep a secret If one of them is dead.
— mon groupe • Soda:3
— et un dernier mot ? • MIAOU.

Le soleil n'était pas encore sorti, le ciel était encore sombre, mais déjà mes yeux s'ouvraient. J'avais froid. Pas un froid qui nous glace le sang comme j'ai eu la chance d'en connaître lorsque je vivais encore en Alaska, non. Mais plutôt ce genre de froid qui nous empêche de garder les paupières closes tellement nous avons froid, ce froid qui a la fâcheuse tendance à raccourcir nos nuits. Je cherchais mon portable tout autour de moi, mais je n'arrivais pas à mettre la main dessus, jusqu'au moment où le moment où ma main rentrait en contact avec le métal glacé de mon Iphone. Je le pris dans ma main et le mis au niveau du visage tout en mettant mes mains en visière pour pouvoir voir les chiffres qu'affiche l'écran. Je lis donc : 3: 04. Je n'avais cours qu'à 8 heures, soit dans cinq heures. J'essayais de me rendormir, sans succès. Le sommeil m'avait bel et bien quitté. Je cherchais donc quelque chose pour m'occuper. Malheureusement, je n'avais aucun devoir en retard, ni aucune œuvre à finir, ni même aucun livre à lire.
Je sortis de mon lit. J'allumais la lampe se trouvant sur ma table de chevet pour pouvoir voir un peu plus. Je me mis à déambuler dans ma chambre, à la recherche d'une quelconque activité qui pourrait me faire passer le temps durant ces cinq heures avant mon premier cours. Je m'arrêtais devant mon miroir, je contemplais toutes mes œuvres se trouvant derrière moi. Je trouvais que je m'étais améliorée depuis mon retour ou plutôt mon arrivée. Je souris à mon reflet. Je me trouvais aussi bien plus jolie que je ne l'étais avant. Je tournais la tête vers mon bureau et vis mon ordinateur. Je m'assis sur ma chaise et allumais mon poste. Direction, un site sur lequel j'avais posté une vidéo, hier avant de me coucher. Sur cette vidéo je reprenais une chanson. Je m'attendais à ce que peu de personnes aller regarder ma vidéo, ce fut pourquoi, j'eus une agréable surprise en voyant les trente-trois mille vus. J'eus une envie de me mettre à sauter dans tous les sens, de me mettre à rire comme une folle, mais sachant que tout le monde devant encore dormir, je pris la décision de me calmer et de rasseoir devant mon écran que j'éteignis. Je ne pouvais donc pas passer encore quatre bonnes heures sur mon ordinateur.
Je partis me recoucher. Une fois mes yeux clos, je sentis les songes m'importaient. Je me voyais à vingt-cinq ans, encore avec une allure juvénile, vivant de ma passion, de mes différentes formes d'art. J'étais belle et accomplie, belle et pleine d'assurance, belle et … loin et de nouveau loin de ma mère et de ses décisions cherchant à réprimer mes envies d'artistes, mes envies de libertés. «  Bipbip ! Bipbipbip ! Biiiiiiiiiiiiiiipbiiiiiiiiiiiiiiip ! » Sans ouvrir mes yeux, j'appuyais sur mon réveil. Finalement je reussi à me rendormir et à finir la nuit. Je sortis une nouvelle fois de mon lit et pris la direction de ma salle de bain, je sortis en étant vêtu que d'un simple peignoir et d'une serviette par-dessus la tête. Je ressuis un message d'une copine de classe, le mec le plus mignon de notre classe était enfin célibataire après deux ans de relation assez complexe avec une fille plus vieille que nous. Je pris une de mes robes les plus belles et les plus facilement portables en printemps. Je me mis sur mes pointes de pieds et me mis à danser. Je sentais que cette journée allait être... Parfaite. Je finis de me préparer et descendis les marches pour rejoindre le reste de ma famille qui se trouvait déjà autour de la table familiale. Je descendis tout sourire. «  Bonjour tout le monde ! » Elles se regardaient toutes d'un air interloqué. Je m'assis à la droite de Lucy, soit la première chaise libre et prit une pomme. «  Maman, si tu veux je dépose Lucy en passant, j'ai le temps ! » Elle le regardait bizarrement, comme si j'étais une autre personne. Je souris à ma mère, il était rare que je sois aussi douce envers elle. « Au fait ce soir, je vais réviser chez une fille de ma classe ! » elle me demande laquelle je laquelle je réponds comme si de rien était. «  Tu ne la connais pas ! » Elle me donnait étrangement son consentement et m'indiquait une heure, si à 22 heures je n'étais pas rentré je serais punie, comme si j'aillais l'écouter et surtout réviser. Ce soir a lieu la plus grosse soirée du printemps et je compte bien y aller...