Bienvenue à Fairhope, la ville de l'espoir !
Nous sommes heureux de t'avoir parmi nous, Invité ! N'hésitez pas à varier les âges et générations !
Les trentenaires et quarantenaires ou même les enfants sont géniaux. Soyez de bons Pinocchio et de bons détectives.
Être actif fait augmenter vos points et vos chances pour un indice. |
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| + It's not like you to say sorry | Robyn | |
| Auteur | Message |
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Caël-Lee B. Rowsburry ✁--------------------------- ✃--------------------- ⊱ LES PETITS MENTEURS Cliques, c'est mortel ► too old : 44 ► date of birth : 18/08/1980 ► marital status : Libre comme l'air ► love : Mon caniche sans poil qui n'existe pas ! ► my pet : Théa ♥ ► adress : 108 - CROFTON CITY ► lovely job : Propriétaire d'un bar ► boring job : Maire de la ville ► nicknames : Il n'y a qu'une seule personne qui peut m'appelle "Caca", je vous préviens d'avance. ► I quote : Le temps passe. Ah, si on pouvait le regarder passer. Mais hélas, on passe avec lui. ► my sex : Masculin ► my writings : 68 ► my dollars : 185 ► availability : Place pour 1 rp ► little pseudo : strawberry insane ► other account : Billie + Valentine ► Registration Date : 12/04/2013 © copyright : bazzart ► little face : Matt Bomer
| Sujet: + It's not like you to say sorry | Robyn Mer 15 Mai - 10:50 | |
| ❝ It's not like you to say sorry. I was waiting on a different story. This time I'm mistaken. For handing you. A heart worth breaking. And I've been wrong. I've been down. Into the bottom of every bottle. These five words in my head. Scream. We having fun yet ? ❞
Il était mdi sur l’horloge de mon bureau. Les cloches de l’église sonnaient leurs 12 coups. C’était bien désagréable de les entendre mais pourtant tellement agréable à la fois. C’était le bruit de Fairhope. L’ambiance de cette ville. Là, tout fut gâché par le grognement de mon ventre. Maman me disait toujours depuis que j’étais tout petit que mon ventre était pire qu’un ogre. Il avait toujours faim. Que pouvais-je y faire depuis tout ce dont ? La famine n’est pas une chose que l’on peut dompter. Ce n’est pas comme un fougueux lion que nous pouvons fouette. La famine n’est que la famine et rien d’autres. J’ai une de ses logiques, mon dieu. Enfin bref. Depuis des années l’on me comparait souvent à un personne de Disney, Sullivan. Pourquoi ? Longue histoire en fait. Disons que j’ai l’art de toujours m’attacher aux gens qui devraient être plus jeune, qui devraient même avoir peur de moi. Je ne fais pas peur cependant. Ils me prennent même souvent pour une grosse boule de poil et viennent chercher leur affection tandis que je m’inquiète bien trop pour eux. Je peux faire des bêtises pour protéger les gens qui me tiennent à cœur. Comme tout le monde en fait. Normal. Enfin bref. Disons que j’étais loin d’être un ogre mais ce gros monstre à poil que l’on voit dans un pixar. J’aimais bien cette comparaison. Bien plus agréable d’être un caca, merci Théa. Ma cousine était une femme merveilleuse. Ses boucles blondes et ses yeux me rappelant à chaque fois que nous étions de la même famille. Je ne lui dis jamais mais elle est comme une sœur pour moi. Loin d’être une cousine, c’est une sœur. Sa sœur aussi mais moins, bien moins que Théa. Enfin il y a aussi mon frère, ce cas social qui a autant de mal que moi de se trouver une femme bien. Les hommes de la famille ont comme une sorte de malédiction avec les femmes, je vous jure mais je le tiens à l’œil. Oui. Il tourne autour d’une fille. Enfin bref, j’allais à la fenêtre de mon bureau. Levant le store qui m’aidait à garde de l’ombre tandis que je bossais depuis au moins trois heures. Je regardais rapidement en direction du Panini Petes ! Un sandwich ? En voilà une bien bonne idée. Je soupirais doucement en prenant alors ma veste par-dessus mon avant-bras. Il faisait bien trop chaud pour l’enfiler. Et je sortais de mon bureau. J’indiquais ma sortie à la secrétaire en lui offrant l’un de mes plus beaux atouts : mon sourire. J’allais alors vers la sortie du bâtiment. Mon regard se perdant hasardeusement vers les habitants. Je les connaissais pratiquement tous. Il y avait Lizzie Gordon dans un coin, Ayleen O’Brady au téléphone dans un autre et une jeune Porter un peu plus loin. Je secouais la tête, amusé par la décadence surprenant de la ville. Ils semblaient tous débordés. Une vie passionnante pour tout le monde. Et là, je vis de loin les cheveux roux d’une magnifique jeune femme. Je buguais quelques instants sans trop savoir quoi faire. Cette jeune femme, elle. Je tournais le dos rapidement. Je n’étais pas prêt à la croiser la de suite. Je soupirais doucement en passant une main dans mes cheveux. Je tentais mon possible pour qu’elle se souvienne de moi. J’avais même tenté de lui envoyer des messages mais son portable n’était plus en ligne. J’ignorais ce qu’il en était advenu. Peut-être écrasé ? Je n’avais pas encore cherché à le savoir. Je fermais les yeux comme un nullos au milieu de la place principale, non loin de la fontaine. Je tournais mon regard par-dessus mon épaule pour voir si elle était encore là alors que la femme du boucher arrivait pour venir me parler. « Monsieur Rowsburry, Bonjour ! », me disait-elle avec son air un peu mesquin. Elle l’avait toujours cette femme. Elle était insupportable par moment. Je lui souriais pourtant. « Bonjour ! », répondis-je alors en regardant rapidement en direction de Robyn et écoutant la jeune femme. « Je voulais savoir ou en était notre demander de construction pour nôtre piscine ! », me demandait-elle alors que j’étais en pause. Je soupirais doucement. « Téléphoné à ma secrétaire elle vous diras tout ça. Je suis en pause et j’ai une chose à faire ! », je lui offris un sourire en voulant me montrer le plus sympathique possible mais je ne pensais pas du tout à mon boulot actuellement mais alors pas du tout. J’étais bien trop occupé à me demander quoi faire avec la jeune femme aux cheveux flamboyants. « Oh, d’accord ! », disait-elle en me regardant. « Bonne journée ! Monsieur le maire ! », me lâchait-elle sarcastiquement mais punaise, cette pimbêche. Je la haïssais. Je levais les yeux sans rechigner et la regardant alors s’éloigner avant de me décider à aller à la rencontre de Robyn. J4approchais à des pas timides. Je me posais à côté d’elle en grattant un peu mon menton. « Bonjour ! », demandais-je à la jeune femme amnésique et haussant les épaules. « Comment allez-vous ? », soufflais-je aussitôt en évitant le tu. Pourquoi ? Je ne voulais pas la gêner comme elle ne se rappelait pas de moi. je ne voulais pas du tout la presser et paraitre pour le gars lourd qui joue le psychopathe. Je passais une main dans mes cheveux en la regardant et lui souriant légèrement. « J’allais manger un sandwich au parc, seriez-vous intéressée ? », demandais-je donc en paniquant un peu. Lui parler n’était pas une chose que j’avais faite. Ce n’était que des mots écrits dans le passé. Nous passions à la parole et elle ne se souvenait pas de l’écrit. A mon grand regret. Nous rions ensemble à cette époque et nous nous connaissions assez bien pour que je ne sache déjà ce qu’elle allait commander pour son sandwich. Si elle acceptait ma proposition.
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| | | Robyn Jewell ✁--------------------------- ✃--------------------- ⊱ LES MENTEURS EN HERBE Cliques, c'est mortel ► too old : 35 ► date of birth : 05/08/1989 ► marital status : Sans-Relation-Fixe (SRF) ► love : Babouchka ! ► my pet : Miaou, un chat noir et blanc. ► adress : 7374 - Dairy Road ► lovely job : Journaliste ► boring job : Essayer de retrouver la mémoire ► my sex : Féminin ► my writings : 257 ► my dollars : 152 ► availability : Présence réduite ► little pseudo : Nikita ► other account : Théa Wise ► Registration Date : 15/04/2013 © copyright : Tumblr & Shyia ► little face : Emma Stone
| Sujet: Re: + It's not like you to say sorry | Robyn Ven 17 Mai - 11:43 | |
| We were waiting a different story Robyn s’assit au bord de la fontaine en cette belle journée ensoleillée. La jeune journaliste alluma son dictaphone et réécouta l’interview qu’elle venait d’enregistrer pour l’émission de radio qu’elle devait animer aux côtés de son colocataire et ami Alexey. Le jeune homme l’avait cordialement invitée à participer à une animation avec lui. Robyn était plus à l’aise à taper un ordinateur derrière un article, mais depuis l’accident qu’elle avait eu, accompagné de troubles de mémoires désagréables pour elle, la jeune femme essayait toutes sortes de nouvelles expériences en se disant que la vie était bien trop fragile pour les laisser passer. Et combattre sa réserve orale était un atout non négligeable dans sa carrière de journaliste, elle n’avait donc pas pu refuser l’offre de son ami russe. Elle l’aidait d’ailleurs parfois à corriger son accent lorsque celui-ci redevenait trop prononcé. Robyn sortit de sa rêverie et ressentit la fraîcheur de la fontaine dans son dos. Une brise légère se leva et fit déborder quelques gouttes sur sa blouse. Elle esquissa un sourire avant d’appuyer sur play. L’entretien qu’elle venait d’avoir consistait à retracer la carrière d’un musicien local qui avait réussi à se faire connaître au-delà des frontières de l’État d’Alabama. Pour une petite ville comme Fairhope, c’était quelque chose. Cet artiste donnait justement un concert en centre-ville ce soir, et Robyn avait été envoyée par la radio pour recueillir ses impressions. La jeune femme prit quelques notes pour compléter certains passages et reformuler certaines phrases. Elle devait relever les points essentiels de cette interview pour sélectionner ceux qui seraient les plus pertinents pour passer dans l’émission animée par son colocataire. Soudain, la jolie rousse laissa son regard se perdre sur la place lorsqu’elle aperçut Caël, le maire de la ville, en plein discussion avec les citoyens un peu insistants du coin. Robyn sourit de nouveau ; Fairhope était une petite ville et tout le monde avait entendu parler des questions relous de la femme du boucher. Il n’était dès lors pas surprenant que le jeune Rowsburry essaie de s’en détacher le plus cordialement possible. C’était lui qui avait retrouvé Robyn par terre le jour de son accident. Ils devaient apparemment se retrouver ce jour-là, mais fait étrange, la jeune Jewell n’avait absolument aucun souvenir de lui tout comme elle n’avait absolument aucune idée de ce qui lui était arrivé… C’est à ce moment-là qu’elle avait compris qu’elle avait perdu une partie de sa mémoire. La jeune femme était quelque peu mal à l’aise de ne pas se rappeler de tout lorsque son entourage essayait de lui remémorer les derniers mois écoulés. Au début, ça la touchait, même si elle était frustrée de l’échec de leurs tentatives. Elle ne parvenait pas à se souvenir de quoique ce soit. Mais au fur et à mesure qu’ils avaient insistés, Robyn avait pris ses distances. Ça ne servait à rien de lui forcer la main si sa mémoire refusait de fonctionner. Le lui rappeler tous les jours ne faisait que lui mettre davantage la pression. Caël s’était aussi montré patient avec elle et lui avait proposé qu’ils se revoient quand elle serait prête, mais Robyn n’avait pas encore eu le courage de le recontacter. Elle avait un peu peur de se retrouver confrontée à lui sachant qu’elle avait tout oublié. Peut-être n’avait-elle dû le rencontrer ce soir-là que par rendez-vous professionnel, pour une interview, mais vu l’inquiétude qu’elle avait lu sur son visage quand elle s’était réveillée, il s’agissait de bien plus. Pourquoi ne parvenait-elle donc pas à se rappeler de lui ? Robyn en avait assez de se poser toutes ces questions sans trouver les réponses. La jeune femme baissa donc les yeux pour reprendre son travail, lorsqu’elle entendit sa voix chaude et agréable juste en face d’elle. Il la salua avant de lui demander comment elle allait. « Bonjour ! Plutôt pas mal ! Ce soleil donne la pêche. Et vous ? Pas trop débordé par le travail ? » Lui retourna-t-elle la question en souriant, alors qu’il avait enfin réussi à se débarrasser de l’autre. La référence sous-entendue était on ne peut plus claire. Depuis le moment où il s’était rendu compte de son amnésie légère, le maire s’était mis à la vouvoyer, alors que lorsqu’il l’avait retrouvée ce soir-là, il ne l’avait pas fait au début. Robyn avait remarqué ce petit détail et le changement d’attitude qui en avait suivi, mais elle avait préféré ne pas le relever et adopter le même comportement. Caël l’invita alors à aller manger un sandwich dans le parc. La jeune journaliste songea que c’était une bonne idée et surtout le bon moment de prendre sa pause. Elle ne pouvait plus vraiment repousser le moment d’une discussion entre eux, heureusement le jeune Rowsburry ne semblait pas être le genre de personne à lui mettre la pression, alors ça ne dérangeait absolument pas Robyn. « Avec plaisir. » Répondit-elle en fermant son bloc note qu’elle rangea avec son dictaphone dans son sac à main. Elle se leva du bord de la fontaine et lui emboîta le pas à l’intérieur de la sandwicherie pour se commander leur dîner avant d’aller dans le parc.
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| | | Caël-Lee B. Rowsburry ✁--------------------------- ✃--------------------- ⊱ LES PETITS MENTEURS Cliques, c'est mortel ► too old : 44 ► date of birth : 18/08/1980 ► marital status : Libre comme l'air ► love : Mon caniche sans poil qui n'existe pas ! ► my pet : Théa ♥ ► adress : 108 - CROFTON CITY ► lovely job : Propriétaire d'un bar ► boring job : Maire de la ville ► nicknames : Il n'y a qu'une seule personne qui peut m'appelle "Caca", je vous préviens d'avance. ► I quote : Le temps passe. Ah, si on pouvait le regarder passer. Mais hélas, on passe avec lui. ► my sex : Masculin ► my writings : 68 ► my dollars : 185 ► availability : Place pour 1 rp ► little pseudo : strawberry insane ► other account : Billie + Valentine ► Registration Date : 12/04/2013 © copyright : bazzart ► little face : Matt Bomer
| Sujet: Re: + It's not like you to say sorry | Robyn Mer 22 Mai - 15:45 | |
| ❝ It's not like you to say sorry. I was waiting on a different story. This time I'm mistaken. For handing you. A heart worth breaking. And I've been wrong. I've been down. Into the bottom of every bottle. These five words in my head. Scream. We having fun yet ? ❞
La mémoire est une chose importante. L’on ne sent rend pas compte avant d’oublier mais encore d’avoir été oublié. Je n’avais pas ouvert mon cœur depuis que Snow avait lâchement it non à ma demande. Une demande en mariage en tout uniforme. C’était il y a plus de trois ans mais je n’avais pas voulu penser à mon avenir avec une femme depuis plus depuis ce jour jusqu’au moment où j’avais commencée à parler avec la jeune femme par sms. C’était sans aucun doute… il y a un bon moment enfin quelques mois et cela faisait 5 mois que nos conversations me manquaient. C’est étrange mais c’était comme un trou dans ma vie. J’inspirais doucement alors que j’avais approché d’elle avant de faire les quelques pas qui nous séparaient. Et je me lançais alors sans vraiment prêter attention à la surprise ou à un mécontentement que son visage pourrait afficher en fait. Je ne voulais même pas penser qu’elle pourrait me repousser. En fait, je ne voulais pas avoir la sensation d’un refus d’une sorte de rapprochement. J’en avais même un peu peur. Le maire qui a les chocotte en approchant une femme ? Sérieusement ? C’était un peu étrange tout de même et tout ça à cause d’une fille. Enfin bref, je riais nerveusement en la regardant alors répondre à mes questions et me saluer. Je ne pus m’empêcher de sourire légèrement en haussant les épaules. Je lui souriais doucement en penchant la tête. « On fait aller, le soleil reste un bon moyen pour ravir une journée ! », je souriais doucement car c’était en fait une chose qu’elle m’avait dite une fois dans un de nos sms. Je m’en souvenais réellement comme si les mots avaient coulés dans mes veines au moment où je venais de le dire. C’était en moi. Je détournais le regard. « Pas trop débordé, non ! Pas du tout même, tout roule. C'est comme si nous étions des robots à la mairie. On s'occuper des cas sociaux aussi comme... elle... Certains oublient que je suis peut-être le maire mais que je suis aussi un être humain. », soufflais-je doucement en haussant les épaules. Cela me faisait encore une étrange sensation d’avoir oubliée. Je ne savais pas réellement ce qu’il y avait entre nous avant qu’elle ne perde la mémoire en fait, je ne savais même pas ce qu’il se passait mais je savais une chose : j’avais ouvert mon cœur ce qui n’était plus arrivé. Je lui en avais tellement dit que je me disais que ce n’était pas purement une simple discussion amicale. C’était plus. Mais comment lui rappeler les nuits ou nous discutions ou même ce moment où j’avais plaisanté alors qu’elle envoyait des sms en direct de son bain. C’était tellement frustrant. Je souriais doucement en tournant mon regard vers elle et lui souriant à nouveau. Il ne fallait pas que je montre mon embarras. Je ne voulais pas la mettre mal à l’aise et lui proposer donc de venir manger avec moi pour le midi était la solution de secours. Papoter avec elle, c’était tellement une bonne idée que je voulais tenter l’expérience. Je la suivais alors et nous commandions à la sandwicherie. Je prenais bêtement un de leur sandwich au poulet. Une tuerie et puis j’adore le poulet donc bon. Je la regardais du coin de l’œil avec un sourire alors que nous marchions dans le parc. En fait, cela me faisait une sensation bizarre d’être dans ce parc avec elle. Nous l’avions presque notre rendez-vous-même s’il aurait dû neige ce soir-là et non y avoir un grand soleil. Je me sentais stupide là à la regarder en souriant. Je devais passer pour un cinglé. Je riais nerveusement en croquant dans mon sandwich et mâchant alors sagement en finissant par avaler et poser mon regard vers elle à nouveau. « Je vais me sentir idiot à demander ça ainsi mais… », je grimaçais doucement. « C’est agréable de me balader avec v… enfin toi ! », je me rattrapais aussitôt sans savoir l’usage donc je devais faire preuve. En fait, je ne savais pas comment m’y prendre. Je n’étais pas vraiment le psychologue de la famille enfin pas du tout même. Je levais le regard doucement en penchant la tête. « Je ne suis pas psychopathe ! », lâchais-je alors en inspirant doucement et regardant rapidement vers elle avant de reposer aussitôt mon regard sur mon sandwich. « Je veux dire par là, j’attendais ça depuis… très longtemps et toi aussi, je crois enfin avant que… enfin bref ! », je soupirais un peu, nerveux. Je la regardais alors avec une mine de l’homme tellement navré de mettre ça sur le tapis. « Désolé ! », soufflais-je doucement en lui souriant tendrement. Non mais sérieusement pourquoi je parlais de ça ? Ce n’était clairement pas une bonne idée de ramener la mémoire sur le tapis alors que je commençais clairement à réussir à m’en rapprocher sans avoir l’impression que j’allais lui donner la migraine. J’avais du mal à me sentir détacher surtout du rapprochement entre mon frère et elle.
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| | | Robyn Jewell ✁--------------------------- ✃--------------------- ⊱ LES MENTEURS EN HERBE Cliques, c'est mortel ► too old : 35 ► date of birth : 05/08/1989 ► marital status : Sans-Relation-Fixe (SRF) ► love : Babouchka ! ► my pet : Miaou, un chat noir et blanc. ► adress : 7374 - Dairy Road ► lovely job : Journaliste ► boring job : Essayer de retrouver la mémoire ► my sex : Féminin ► my writings : 257 ► my dollars : 152 ► availability : Présence réduite ► little pseudo : Nikita ► other account : Théa Wise ► Registration Date : 15/04/2013 © copyright : Tumblr & Shyia ► little face : Emma Stone
| Sujet: Re: + It's not like you to say sorry | Robyn Sam 1 Juin - 8:21 | |
| We were waiting a different story Robyn avait l’impression de passer à côté de plusieurs choses depuis qu’elle avait perdu la mémoire. Elle pouvait souvent ressentir aux malaises des gens qui l’entouraient que la situation n’était pas normale. En présence de Caël, elle avait le même sentiment. Il agissait différemment avec elle que ce qu’il n’aurait dû être et se retenait probablement à cause du traumatisme de la jeune femme. La journaliste en herbé était frustrée par le néant qui régnait dans sa tête depuis plusieurs mois, mais elle n’était pas encore parvenue à réactiver tous ses souvenirs. Elle avait tenté un jour de demander à son entourage s’il savait quelque chose à propos d’un lien ou même d’une amitié entre le maire et elle, mais personne n’avait su lui répondre. Elle en avait donc rapidement conclu qu’il n’en était rien, pourtant elle sentait qu’ils n’étaient pas des inconnus l’un pour l’autre. Alors quand il s’approcha d’elle et lui proposa de prendre sa pause déjeuné avec lui dans le parc, elle sauta sur l’occasion d’en apprendre un peu plus. Depuis qu’il l’avait retrouvée le jour de l’accident, il avait gardé une distance respectueuse envers la jeune femme et n’était pas revenu à la charge. Les dernières semaines, c’était plutôt le frère de Caël qui était entré dans le paysage de l’entourage de Robyn. La jeune femme ne se souvenait pas non plus des circonstances dans lesquelles elle l’avait connue, mais elle supposa qu’elle avait dû les rencontrer à peu près en même temps. A vrai dire, Robyn espérait pouvoir répondre à ces questions à la fin de cette pause déjeuné, même si sa mémoire refusait de se rappeler. Elle leva un regard vers le maire lorsqu’il prononça une phrase qui lui parut lointainement familière, mais une nouvelle fois, elle n’en était pas sûre et préféra ne pas relever de peur de commettre une erreur. Caël lui expliqua qu’être maire avait ses exigences, mais qu’il restait tout de même un être humain. Robyn esquissa un sourire avant de ranger ses affaires dans son sac et de lui emboîter le pas dans la sandwicherie. Il commanda un pain au poulet et elle fit de même. Pas par manque d’inspiration, mais parce qu’elle prenait toujours celui-là. Robyn avait ses petites habitudes, habitudes que Caël semblaient bien connaître d’ailleurs. « Sommes-nous déjà venus manger ici ? » Demanda-t-elle alors, un peu gênée de poser cette question. C’était vraiment délicat comme situation. Ils sortirent ensuite et se dirigèrent dans le parc où ils s’installèrent pour manger. Au bout de quelques secondes, le jeune homme la regarda étrangement et arbora un sourire gêné à son tour. Robyn devina où il voulait en venir, mais il se ravisa aussitôt en parlant du côté agréable de ce « rendez-vous » improvisé. La jeune femme ne répondit pas voyant qu’il s’apprêtait à poursuivre. Elle mordit dans son sandwich avant d’éclater de rire au mot psychopathe. Elle n’en avait pas douté un instant ! Il baissa alors les yeux comme s’il se faisait plus sérieux et lui expliqua qu’il attendait ceci depuis très longtemps… comme elle sans doute. Robyn haussa les sourcils, perplexe. Que voulait-il dire par très longtemps ? Tous les doutes qu’elle avait ressentis le premier soir se bousculèrent à nouveau dans sa tête. Elle ne pouvait plus repousser le moment de savoir ce qu’ils étaient vraiment. D’ailleurs, elle avait noté un autre changement ; il la tutoyait à nouveau. S’ils étaient « si proches » qu’il avait l’air de le laisser entendre à l’instant, elle comprenait que la situation soit autant difficile pour lui que pour elle. « Ne t’excuse pas. » Souffla-t-elle en posant sa main sur l’avant-bras de Caël, avant de le retirer une fraction de seconde plus tard. Robyn n’osait pas se laisser aller à un rapprochement plus direct alors qu’elle avait l’impression… de le connaître sans le connaître vraiment. Les souvenirs ne revenaient pas. « Et si tu m’en disais un peu plus sur la façon dont nous nous sommes rencontrés et sur ce qu’il y a entre nous ? Tu dis que ça fait très longtemps que tu attendais ça, on se connaît donc depuis un moment ? » Demanda-t-elle, sa curiosité éveillée. Elle n’aimait pas rester ainsi coincée dans le noir. Elle avait besoin qu’il lui explique ce genre de détails. « Peut-être que ça m’aidera à me rappeler. » Ajouta-t-elle pour l’encourager. Robyn savait qu’il ne voulait pas la brusquer, mais cette fois, c’était différent puisque c’est elle qui le priait de l’aider à raviver sa mémoire. Elle préférait avoir des réponses, aussi inattendues soient-elles, plutôt que de rester dans l’ignorance la plus complète.
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| Sujet: Re: + It's not like you to say sorry | Robyn Dim 2 Juin - 9:06 | |
| ❝ It's not like you to say sorry. I was waiting on a different story. This time I'm mistaken. For handing you. A heart worth breaking. And I've been wrong. I've been down. Into the bottom of every bottle. These five words in my head. Scream. We having fun yet ? ❞
Avions-nous déjà mangés ici, j’avais secoué la tête, non pas du tout. En fait, nous n’avions même pas encore eu la chance de se rencontrer mais en parler était compliqué pour moi. Je n’osais pas trop. Je ne voulais pas paraitre lourd avec Robyn. La jeune femme avait surement bien mieux à faire que de supporter mes histoires sachant qu’elle ne s’en souvenait plus. Je ne voulais pas l’ennuyer. Il restait tellement de choses dont elle avait besoin de se souvenir. Je n’étais qu’une poussière parmi elle. C’était ce que je me disais pour m’interdire de le faire. Je continuais donc la marche à côté d’elle. Me surprenant à la regarder comme un cinglé. Bien que la rime soit bien jolie, je n’étais pas vraiment à l’aise à mon grand désespoir tout en l’étant à mon grand espoir. Et je m’excusais, comme un fou qui ne voulait pas que la jeune femme panique à ses attitudes qui devaient peut-être être des plus déconcertantes pour lui. J’espérais que ça ne serait pas le cas. D’habitude, je pouvais me montrer persévérant pour obtenir l’objet de mes désirs mais là, ce n’était pas vraiment voir pas du tout pareil. En fait, disons que j’avais peur de lui en demander de trop au risque de la voir s’éloigner de moi. Une crainte étrange qui était aussi un problème car j’avais lu des millions de choses sur l’amnésie et elle disait qu’il fallait un électrochoc pour la ramener. Et là, je riais doucement en levant le regard alors qu’elle me demandait de lui en dire plus, chose difficile. Comment expliquer sans en dire de trop ? Je ne voulais pas lui faire de faux souvenirs. Dans le fond, je ne savais pas comment elle voyait cette histoire de son temps de mémoires, je ne savais que comment je la voyais. C’était compliqué pour moi. Je la regardais en mangeant toujours, un peu nerveux et voyant un banc alors qu’elle disait que ça l’aiderait surement à s’en rappeler mais étais-ce réellement vrai ? Les histoires et mythes des médecins. Mon frère avait beau être psychologue, je ne croyais pas toujours à sa science. J’inspirais doucement en montrant le banc et lui souriant. « On s’assoit ? », demandais-je des plus simplement en allant vers le banc m’assoir avant même d’avoir la réponse. Non pas que j’ai mal aux pieds mais manger en marchant ce n’était pas vraiment très pratique. Je regardais alors rapidement la vue et reconnaissant plusieurs des personnes dans le parc même si on n’était peu nombreux. Je riais un peu nerveusement. « En fait, c’était par la biais d’un site de rencontre… c’était juste un hasard… je cherchais à faire des rencontres hors du boulot et hors de ma vie… et on s’est parlés… au début c’était petit à petit puis quelques sms par ici et là. En fait au début, c’était une fois par jour puis c’était bien plus souvent et ça fait un moment… quand même tellement que je ne serais plus dire exactement… des mois pourtant j’ai l’impression que ça faisait des années... », je lui souriais doucement en baissant le regard. En parler était simple mais avoir l’impression que ce n’était pas une bonne idée en en parlant était un peu plus compliqué pour moi. Je me sentais un peu vidé de lui avoir dit car il fallait que je lui dise, c’était certain. Il fallait qu’elle le sache même si elle ne s’en rappellerait pas avec ce que je venais de dire mais comment en dire plus ? Je n’en savais rien à vrai dire. Il n’y a aucune magie qui puisse nous faire dire ce qu’on a à dire. Aucunes. On ne sait jamais le mot magique. On ne peut jamais le savoir surtout dans ce genre de situation. Je pouvais tout aussi bien braquer sa mémoire. Ça aussi, je l’avais lu. Une chose qui ne lui plairait pas et hop. Je riais un peu nerveux. « Ca n’aide personne mais à part te raconter nos messages ou même t’en lire… je ne vois pas ce qui pourrait t’aider car je n’étais pas là lorsque tu les envoyais. », disais-je en détournant un peu le regard. Je me sentais un brin inutile mais c’était un sentiment humain dans le fond. Tout le monde se sent inutile à un moment de sa vie, je me trompe ? Je riais nerveusement. « C’est nul… j’ai l’impression d’être inutile pourtant j’aimerais réellement t’aider et ça me tue… », disais-je un peu gêné… car oui, je montrais réellement l’envie de l’aider mais mon égo en prenait aussi un gros coup sur la tête à ce moment-là. Je ne savais pas du tout quoi dire ou quoi faire de plus pour aider la jeune femme à récupérer sa mémoire. Le pire c’est que je ne voulais pas l’aider à récupérer nos souvenirs mais sa mémoire car je tenais à elle mais pas au point de ne penser qu’à moi.
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| Sujet: Re: + It's not like you to say sorry | Robyn Mer 5 Juin - 6:56 | |
| We were waiting a different story Cette situation était extrêmement difficile pour l’un comme pour l’autre. D’un côté, Robyn se sentait quelque peu embarrassée de ne pas se souvenir de ce qui la liait à Caël, ni même si une amitié quelconque existait entre eux. De l’autre, le jeune maire devait avoir le plus grand mal d’agir différemment avec elle qu’il n’avait pu le faire avant. Elle dénota tout de même un léger changement ; il ne la vouvoyait plus, ce qui la mettait déjà plus à l’aise et en confiance avec lui. La jeune journaliste n’aimait pas qu’on lui force la main pour se rappeler absolument le passé quand sa mémoire refusait de fonctionner, mais elle détestait encore plus rester dans le flou sans avoir essayé. Dans l’espoir donc de récupérer des fragments de souvenirs, Robyn demanda donc à Caël de lui expliquer la nature de leur lien. En fonction de la « proximité », elle pourrait plus ou moins adopter l’attitude la plus appropriée possible en sa présence. Celle d’une simple connaissance, d’une amie qui ne se rappelait pas… Elle pourrait être davantage elle-même et qui sait… peut-être avoir quelques réponses à ce qui était arrivé le jour de son accident. En effet, Caël était celui qui l’avait retrouvée dans un état traumatique avancé. Elle avait seulement compris ce jour-là qu’ils étaient supposé se rejoindre après s’être donné rendez-vous, mais tellement confuse de ne se rappeler de quasiment rien, elle n’avait pas vraiment compris tout ce qui s’était passé. Le jeune maire lui proposa alors de s’asseoir pour continuer de manger. Lorsque les deux jeunes gens furent installés, il rit un peu nerveusement avant de lui expliquer qu’ils s’étaient rencontrés par un site de rencontres. Robyn esquissa un sourire et pouffa. « Vraiment, sur un site de rencontre ? Tu veux dire que toi et moi on… ? » S’étonna-t-elle d’un coup. Façon plutôt originale de faire connaissance. Tellement pas son genre aussi. Mais elle se rendit compte que c’était déplacé. Comment mettre sa parole en doute alors qu’elle ne se rappelait de rien ? Elle se souvint alors d’une remarque d’Anya qui lui avait demandé si elle était allée vérifier les réponses son compte depuis son inscription… Un flash lui revint alors. Bref, rapide. Une image d’une fraction de seconde seulement. Sa jolie colocataire russe était celle qui l’avait embarqué là-dedans pour qu’elle puisse se trouver quelqu’un, ce détail lui revenait à présent. Elle retrouva donc son sérieux et écouta la suite des propos de Caël. Au début qu’ils avaient commencé à se parler, c’était quelques e-mails, puis des sms par ci par là. Ensuite, les contacts étaient devenus de plus en plus réguliers pendant des mois. Elle l’écoutait attentivement, mais il s’arrêta net aussitôt qu’il lui confia qu’il avait l’impression de la connaître depuis des années. Robyn fut envahie par le même sentiment, alors même qu’elle ne se rappelait de rien. Elle avait l’impression d’une aisance communicative avec lui qu’elle n’avait pas ressentie avec la plupart de son entourage. Caël ne lui mettait pas la pression. Et sans cette pression, elle arrivait à avoir les idées claires pour mieux se souvenir et était dans de meilleures dispositions pour se faire. Il lui proposa alors une idée dingue… lui raconter ou même lui faire lire des messages qu’ils s’étaient échangés. « Tu ferais ça ? » Demanda-t-elle étonnée, mais pas du tout contre cette proposition. Avant ces explications, elle ne l’avait jamais regardé autrement que comme une simple connaissance. A présent, elle réalisait qu’ils se connaissaient beaucoup mieux que la première impression ne l’avait laissé entendre, et beaucoup plus intimement qu’elle ne le pensait, si elle s’était laissée aller à lui confier des choses assez… importantes. Un site de rencontres ? Donc le rendez-vous qu’ils s’étaient donnés, c’en était une ? Robyn regarda le jeune maire une nouvelle fois, elle mentirait en disant qu’il n’était pas bel homme. Mais elle ignorait totalement qu’elle en était arrivée à un tel stade avec lui. D’où son trouble quand il l’avait trouvée et qu’elle ne se rappelait même pas de lui. « Et donc quand tu m’as… retrouvée, c’était la première fois que l’on devait se « rencontrer » ? » Ajouta-t-elle perplexe, avant de poursuivre. « Je suis désolée, ça doit être terriblement troublant pour toi de répondre à ces questions. De redonner vie à un passé pour une personne qui en a perdu une bonne partie. En t’écoutant, j’ai vraiment l’impression d’avoir vécu toutes ces choses et j’ai même l’impression de te connaître au fond de moi, ce qui est plutôt encourageant, mais je n’arrive pas encore à me rappeler spontanément. » Expliqua-t-elle d’une voix sincère destinée à le rassurer. Caël lâcha alors qu’il avait la sensation d’être inutile et de ne pas parvenir à l’aider vraiment. « Tu l’as déjà fait. » Confia-t-elle en glissant sa main dans la sienne. Elle n’avait plus vraiment le cœur à manger après ce qu’elle venait d’apprendre. C’était donc cela l’attirance troublante et la connexion étrange qu’elle avait ressenties depuis le début en sa présence. Des émotions qui se réveillaient au fond d’elle, certes. Mais qui ne lui rendait pourtant pas la mémoire, ni les souvenirs qui allaient avec. Cependant, Robyn était certaine que sa meilleure chance résidait là. Tenter de se rappeler grâce aux émotions et s’y raccrocher.
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| | | ❝ Cards your lies ❞ ✁--------------------------- ✃--------------------- ⊱ fondateur • qui vous aimes Cliques, c'est mortel ► too old : 35 ► date of birth : 10/01/1989 ► adress : dans votre jardin ► lovely job : vous ennuyer ► boring job : ne pas vous ennuyer ► nicknames : la peste, l'affreux, la méchante, le petit morveux, et bien d'autres. ► I quote : La difficulté pour une femme n'est pas de garder un secret, mais de garder secret qu'elle garde un secret. ► my sex : Féminin ► my writings : 389 ► my dollars : 784 ► Registration Date : 13/03/2013 © copyright : crazy bunny ► little face : inconnue
| Sujet: Re: + It's not like you to say sorry | Robyn Mer 26 Juin - 12:28 | |
| - Message pour Caël a écrit:
- Ne louchez-vous pas monsieur le maire ?
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| | | Caël-Lee B. Rowsburry ✁--------------------------- ✃--------------------- ⊱ LES PETITS MENTEURS Cliques, c'est mortel ► too old : 44 ► date of birth : 18/08/1980 ► marital status : Libre comme l'air ► love : Mon caniche sans poil qui n'existe pas ! ► my pet : Théa ♥ ► adress : 108 - CROFTON CITY ► lovely job : Propriétaire d'un bar ► boring job : Maire de la ville ► nicknames : Il n'y a qu'une seule personne qui peut m'appelle "Caca", je vous préviens d'avance. ► I quote : Le temps passe. Ah, si on pouvait le regarder passer. Mais hélas, on passe avec lui. ► my sex : Masculin ► my writings : 68 ► my dollars : 185 ► availability : Place pour 1 rp ► little pseudo : strawberry insane ► other account : Billie + Valentine ► Registration Date : 12/04/2013 © copyright : bazzart ► little face : Matt Bomer
| Sujet: Re: + It's not like you to say sorry | Robyn Jeu 27 Juin - 12:27 | |
| ❝ It's not like you to say sorry. I was waiting on a different story. This time I'm mistaken. For handing you. A heart worth breaking. And I've been wrong. I've been down. Into the bottom of every bottle. These five words in my head. Scream. We having fun yet ? ❞
Les sites de rencontres, c’est chelou quand même, non ? Il fallait avouer que m’y mettre alors pour trouver l’amour ce n’était vraiment pas mon truc mais parfois quand les femmes vous déçoivent, vous cherchez ou vous pouvez. Enfin je n’étais pas vraiment emballé à trouver l’amour sur le net. En fait, je n’y croyais pas du tout mais qui ne tente rien, n’a rien. Je voulais une personne qui ne veut pas juste séduire le maire ou mes beaux yeux bleus. Je voulais la perle rare qui serait attirée par ma personnalité. Je pensais l’avoir trouvée sauf qu’elle semblait m’avoir oubliée. Peut-être que c’était une bonne façon de savoir si elle était réellement attirée par ma personnalité si elle retombait sous mes charmes. Je suis chelou sur le coup. Je riais un peu nerveusement alors qu’elle semblait surprise mais j’hochais simplement la tête car je ne savais pas la raison du pourquoi elle s’était inscrite enfin je savais juste pourquoi j’y étais et c’est loin d’être mon genre aussi dans le fond donc cela pourrait réellement surprise, je voulais bien croire. Et là, cette idée était un peu folle car je ne pensais pas que cela soit réellement une bonne idée. Je grimaçais doucement en passant une main dans mes cheveux. Haussant les épaules presque systématiquement en la regardant attentivement. « Je ne pense pas que cela soit une bonne idée mais si tu veux, oui ! », j’avais réellement peur de créer de fau souvenirs chez la jeune femme et je n’avais pas envie d’être ce genre de crétins. Je voulais que ça lui revienne simplement mais pas en le provoquant. Je suis bête non ? Et là, parler de ça avec elle était un peu surprenant à la facilité dont les mots coulaient de mes lèvres. Et là, je lui laissais la parole mais avec une anxiété cette question ou le fait qu’elle était désolée de la situation mais ce n’était pas sa faute. Enfin cela serait dingue. Je disais alors que je me sentais inutiles. C’était le cas, je me sentais tellement inutile ! Et je mangeais, sans m’attendre au geste qui allait arriver. Sa main se glissant dans ma mienne et oui. Je ne savais pas comment réagir, un peu et étrangement perdu alors que sa paume frôlait la mienne. J’avais presque l’impression que j’allais tomber dans mes pommes mais c’était tellement affolant que je me sentais un peu gêné sur le coup. Pourquoi je l’avais déjà fait ? C’était la question qui me passait par la tête par ce que dans un sens, je n’avais rien fais. Je riais un peu nerveusement en la regardant attentivement et haussant une épaule. « C’est peut-être par ce qu’on ne passait pas 30 minutes sans s’envoyer un sms… », soufflais-je doucement en penchant la tête et me disant que je devrais peut-être lui demander son numéro. C’est con, hein ? Mais oui, la question me passait par la tête mais j’étais un peu nerveux comme quand on vit les premiers rencards. C’est stupide car ne général, je suis plus vif et moins… crétin si je puis dire. Mais un peu de couilles, mon beau. T’es un mec pas une lavette, voyons. Et oui, il fallait que j’attrape mes couilles. Allez zouh. Je prenais une profonde inspiration en la regardant alors, serrant même un peu sa main sur le coup mais sans vraiment m’en rendre compte. Les gens ont parfois des gestes un peu stupides. Je riais un peu nerveusement. « Et, je pourrais avoir ton numéro ? », soufflais-je légèrement un peu craintif de sa réaction par ce que bon dieu, je me sentais tellement stupide. « L’ancien semble ne plus fonctionner ! » et paf, c’était la preuve que j’avais tenté. Encore pire que stupide. Sérieux, Cael. Oui, je m’engueule moi-même et alors ? Et là, je louchais un peu sur nos mains, quand mon téléphone se mit à vibrer et que je sursautais comme une puce en allant le chercher dans la poche de mon pantalon. Pour faire, je lâchais donc sa main. Je lisais le message, arquant un sourcil, un peu titillé sur le coup. Je regardais autour de moi attentivement en fronçant les sourcils. Je cherchais une personne avec un téléphone en me disant que si le maire chopait la fouine cela pourrait être génial pour la presse mais personne. Dans un sens ce message était un peu flou pour moi donc je m’en fichais pas mal. Je soupirais doucement en remettant le portable dans ma poche. « Désolé, cette cards your lies se prend pour une petite maline. », lâchais-je en riant légèrement et passant une main dans mes cheveux en posant mon regard sur elle.
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| | | Robyn Jewell ✁--------------------------- ✃--------------------- ⊱ LES MENTEURS EN HERBE Cliques, c'est mortel ► too old : 35 ► date of birth : 05/08/1989 ► marital status : Sans-Relation-Fixe (SRF) ► love : Babouchka ! ► my pet : Miaou, un chat noir et blanc. ► adress : 7374 - Dairy Road ► lovely job : Journaliste ► boring job : Essayer de retrouver la mémoire ► my sex : Féminin ► my writings : 257 ► my dollars : 152 ► availability : Présence réduite ► little pseudo : Nikita ► other account : Théa Wise ► Registration Date : 15/04/2013 © copyright : Tumblr & Shyia ► little face : Emma Stone
| Sujet: Re: + It's not like you to say sorry | Robyn Mar 23 Juil - 8:40 | |
| We were waiting a different story
Robyn accepta la proposition de Caël de lui montrer quelques-uns des sms qu’ils s’étaient envoyés avant qu’elle ne perde la mémoire, même si elle se faisait une meilleure idée de leur lien. Ils avaient pas mal communiqué entre eux avant de se décider d’une rencontre le jour de son accident. Elle ne se rappelait absolument d’aucun de ces moments partagés entre eux et elle avait l’impression qu’on lui avait effacé l’ardoise d’une partie de sa vie. En se réveillant ce jour-là, elle s’était souvenue de son nom, de son enfance, de ses proches de longue date et même de son travail, mais c’était comme si son traumatisme avait effacé les dernières semaines de sa vie, comme lorsqu’on souhaite retirer certains éléments d’une cassette vidéo en y sélectionnant des passages. Robyn aurait vraiment voulu se souvenir des moments entre Caël et elle, il semblait être une personne sympathique derrière sa façade de maire et attentionné qui plus est. Elle glissa alors sa main dans la sienne en signe de confiance et ce seul contact les électrisa. La jeune journaliste le sentait soudainement gêné de se livrer ainsi à elle, alors qu’elle ne se rappelait de rien, pourtant il lui serra la main en retour en ajoutant qu’ils ne passaient pas plus d’une demi-heure sans s’envoyer un sms auparavant. « Nous en étions à ce point-là… » Lâcha-t-elle, en se rendant compte à quel point ils avaient été proches. Ce n’était pas une question, mais une constatation évidente. Caël laissa ensuite s’écouler quelques secondes de silence tout en lui serrant davantage la main, signe qu’elle avait raison de croire à une telle relation. Il continua de manger avant de plonger son regard dans le sien et de lui demander son numéro puisque l’ancien ne semblait plus fonctionner. Robyn se contenta d’acquiescer, elle avait un nœud dans le ventre et n’arrivait plus à rien avaler. En effet, son téléphone avait été retrouvé à côté d’elle, complètement écrasé, le jour de son accident. Pourtant, personne n’avait pu déterminer la cause exacte de son traumatisme. Elle avait été retrouvée par terre et non dans une voiture. Avait-elle fait une mauvaise chute ? Pourquoi son sac se serait-il ouvert tout seul alors, son téléphone gisant à côté d’elle en mille morceaux ? Une voiture l’avait-elle percuté ? On n’avait retrouvé aucune trace de freinage ni de fragments de peinture sur les lieux où Robyn avait été ‘ramassée’. Les médecins lui avaient simplement affirmé qu’elle avait reçu un violent coup à l’arrière de la tête et qu’elle souffrait d’une amnésie partielle qui pouvait un jour s’évanouir ou bien rester indéfiniment. Ils n’en savaient pas plus, mais la théorie de l’accident inexpliqué avait été la plus avancée, même si on l’avait retrouvée non loin du corps de la femme du shérif, qui avait été assassinée quelques heures avant que la jeune femme ne soit retrouvée. Fallait-il pour autant faire un rapprochement entre ces deux histoires ? Sûrement pas. Robyn restait dans l’obscurité, perdue dans ses questions qui n’obtiendraient sûrement jamais de réponse. Elle se contentait pour le moment de combler les trous de sa mémoire en réunissant les derniers moments avant son amnésie et surtout en réapprenant à connaître les personnes qu’elle avait oubliées… dont Caël et son frère Maël. Le maire lâcha alors sa main et sortit son téléphone de sa poche pour consulter un message qu’il venait de recevoir. Il s’arrêta soudainement de manger et, sous le regard interrogateur de Robyn, il expliqua que Card your Lies faisait encore des siennes. « Ce n’est pas la peine de l’écouter. Je ne vois pas ce qu’elle pourrait bien avoir à dire sur nous. » Répondit-elle, en ayant très bien compris que le message s’adressait à la situation présente et à leur drôle de rendez-vous. Elle se saisit alors doucement du téléphone de Caël et y entra son numéro, comme promis quelques minutes auparavant. « Si je comprends bien, dans moins d’une demi-heure, je recevrais ton premier message. » Souffla-t-elle pour le taquiner, en référence à ce qu’il lui avait dit un peu plus tôt.
HJ: désolée pour le retard ma belle
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